dimanche 1 novembre 2020

DISCOURS DE DAVID ICKE

Birmingham le 31 octobre 2020

https://brandnewtube.com/watch/david-icke-birmingham-stand-up-31-10-20_Te9vuo9LF3nVMVY.html

 

Puissant discours de David Icke

à Birmingham samedi 31 octobre 2020 à 13 heures,

4 heures avant l'annonce par Boris Johnson du second confinement en Angleterre :

(traduction B.C.)

 

« Abordons directement ce satané sujet !

La pandémie du virus sars cov 2 est une monumentale et gigantesque fausse alerte, arnaque et imposture ! Et nous devons arrêter de coopérer avec le fascisme qui est imposé en son nom ! 

Mais vous savez nous devons remercier ce virus pour une chose : et c'est le fait que chaque jour, de plus en plus d'êtres humains prennent conscience de la véritable nature de la vie sur Terre. Ils réalisent que le monde est très différent de celui dans lequel ils croyaient vivre, et que les forces qui le contrôlent sont très différentes de celles qu'ils croyaient être pouvoir ! Et ce que nous voyons, c'est l'émergence d'une nouvelle perception de cette réalité humaine qui a perduré pendant si longtemps sous le radar, générations après générations, mais une réalité qui, aujourd'hui, est entrée dans la pièce et que nous pouvons voir et dont nous pouvons enfin nous occuper réellement !

L'esprit humain se réveille dans le monde entier. Il se réveille de son sommeil profond ! En Angleterre, en Irlande, en Allemagne, en Espagne, Italie, et en Europe, au Canada, aux Etats-Unis, au Brésil et face au fascisme en Australie.  Et nous envoyons notre amour et notre soutien de ce Victoria Square ici à Birmingham en Angleterre, à tous ceux qui ont dû vivre écrasés sous la botte dans la province de Victoria, en Australie.  Nous sommes UN !
Ne soyez pas découragés mes amis car nous venons tout juste de commencer.
Il n'y a aucune raison d'être découragé malgré l'obscurité des jours que nous vivons.
Au lieu de cela nous devrions utiliser cette obscurité pour nous inspirer une plus grande détermination à la balayer complètement ! 

LES FASCISTES N'IMPOSENT PAS LE FASCISME, ILS NE SONT PAS ASSEZ NOMBREUX.

LE FASCISME EST IMPOSÉ PAR LA POPULATION QUI CONSENT AU FASCISME !

Et ce à quoi nous assistons c'est juste l'histoire qui se répète mais à une échelle mondiale.

Mais ici devant nous est LA mentalité, L'ESTIME DE SOI qui dans toute l'histoire a toujours mis fin à la tyrannie : l'estime de soi qui dit : « NON ! JE NE VAIS PAS OBÉIR NI COOPÉRER AVEC MA PROPRE MISE EN ESCLAVAGE ».

Et aussi sombres que ces jours puissent paraître, nous allons, finalement, avec cette mentalité, avec cette colonne vertébrale, avec cette estime de soi, nous allons voir disparaître, nous allons faire partir cette tyrannie actuelle, comme cette mentalité a fait disparaître toutes les tyrannies précédentes !

Et nous devons simplement comprendre, pour ceux qui découvrent ceci, et pour ceux qui regardent cela sur internet et qui ne sont pas là aujourd'hui, enfin, ceux qui pourront le voir jusqu'à ce que les algorithmes fascistes de Youtube et Facebook le fasse disparaître.

En tous cas, ceux qui découvrent ceci doivent prendre conscience de TROIS choses : le QUI, le POURQUOI et le COMMENT.

 

Le QUI : depuis 30 ans j'ai démasqué une secte mondiale de sociétés secrètes et de groupes sataniques, qui ont un plan à long terme pour atteindre subrepticement l'asservissement de l'humanité. Cette secte opère dans tous les pays et c'est de cette façon que cette fausse pandémie a été mise en place dans le monde entier, où chaque pays, l'un après l'autre impose les MÊMES obligations et contrôles fascistes.

Le POURQUOI : j'ai dénoncé pendant des décennies ce que j'appelle la société des Hunger Games (NdT. : roman et film décrivant une dictature dirigée par le Président Coriolanus Snow (anagramme de coronavirus ?) où des jeux de survie chaque année permettent à 2 vainqueurs de devenir riches et adulés, donnant l'espoir aux autres...) et en connaissant cela, tout ce qui se passe aujourd'hui devient clair comme de l'eau de roche et simple à voir. La société des Hunger Games est une société pyramidale avec un tout petit nombre en haut qui est le noyau de la secte, qu'on appellera le 1%, et le bas de la pyramide est en gros tout le reste de l'humanité, dans la servitude, sous contrôle et dont la survie dépend du 1% en haut. Et entre les deux, un Etat sans pitié, pas seulement policier, mais militaro-policier, pour imposer la volonté du 1% sur la population et pour empêcher que le 1% soit remis en cause par la population.

Alors prenez cette structure et appliquez-la aux événements actuels. Quel est le résultat final absolu de la mise en place de cette dépendance de masse de la population vis-à-vis du 1% ? C'est pour détruire les moyens d'existence, les entreprises et les emplois indépendants de toute la population.
Et telle est la raison pour laquelle nous avons eu le confinement !

Pas de protéger la santé, mais pour détruire les moyens d'existence de la population.

Donc je dis aux entreprises, et à ceux qui travaillent avec eux au moment où il semble que nous allons faire face à un autre confinement. Ceci est fait, ce second confinement, pour détruire les entreprises qui ont tenu jusqu'à présent. Si vous laissez faire cela, ils vont vous détruire. C'est le moment de dire ; « NON ! NOUS NE FERMONS PAS ! NOUS N'OBEIRONS PAS ! »

 

Et ensuite, il y a le COMMENT :

Eh bien, pour « le comment », à un niveau, vous avez ce réseau qui a créé l'Organisation Mondiale de la Santé et ses recommandations faites unilatéralement et ensuite imposées par les gouvernements dans le monde entier. Donc ça c'est comment c'est mis en place, à un niveau.

 

Mais connaissez-vous le plus gros « comment » de tous ?

J'entends les gens dire : « n'est-ce pas incroyable la rapidité avec laquelle cette société a été transformée entre ce qu'elle était en février et ce qu'elle est à présent ? »

Eh bien il y a quelque chose d'autre qui est arrivé très vite : quelque chose qui a été exactement à la même vitesse que la transformation de la société et c'est la vitesse du consentement humain aux obligations imposées par les psychopathes.

LA LIBERTE OU LE FASCISME EST UN CHOIX !

C'EST UN CHOIX QUE NOUS AVONS LE POUVOIR DE FAIRE.

ET NOUS CHOISISSONS LA LIBERTE.

(la foule scande LIBERTE...)

Et moi, je ne veux pas me dissimuler le cauchemar, l'horreur, que ces psychopathes, que ces pures expressions non diluées du mal, veulent imposer à l'humanité.

Le plan a toujours été de commencer cela au printemps 2020, et ensuite de le développer et de le rendre plus extrême pendant l'hiver 2020-2021 et de continuer cela en 2022 pour écraser la population humaine dans la soumission.
Et nous ne devons pas sous-estimer les conséquences. Les conséquences de cela, pour la famille humaine vont au-delà de toute description ! Et plus que tout je dis aux gens : « SI VOUS NE POUVEZ PAS AVOIR LE COURAGE DE VOUS LEVER POUR VOUS-MÊME, ALORS MON DIEU LEVONS-NOUS POUR LES GAMINS, LES ENFANTS ET LES JEUNES.

SI LES GENS TROUVENT QUE ÇA VA MAL AUJOURD'HUI, COMMENT CROYEZ-VOUS QUE ÇA VA ALLER POUR EUX ? »

 

Et voilà : nous sommes des milliards de personnes à rester à ne rien faire, pendant que le futur de nos enfants et de nos jeunes est volé et détruit par un noyau constitué d'une poignée de psychopathes.


Je crois que j'ai un moyen d'en sortir !

Et tellement d'enfants et de jeunes se sont suicidés par désespoir pendant ces mois de confinement et d'isolation.

Mais je dis à ces jeunes : « NE LAISSEZ PAS CES BATARDS VOUS DÉCOURAGER !

NE PRENEZ PAS VOTRE VIE ! ATTRAPEZ-LA, VIVEZ-LA ET REJOIGNEZ-NOUS DANS L'ELIMINATION DU CONTRÔLE DES PSYCHOPATHES POUR QUE VOUS PUISSIEZ AVOIR LE FUTUR QUE VOUS VOULEZ VOIR »

Nous ne voulons pas retourner à l'ancienne vie normale où les psychopathes contrôlaient dans l'ombre !
Nous voulons NOTRE nouvelle vie normale ! (foule dit oui)
C'est à dire la disparition du contrôle des réseaux psychopathes une fois pour toutes !

Et je propose une façon simple de mettre fin à cette pandémie bidon immédiatement :

 

1/ ARRÊTEZ DE VOUS FAIRE TESTER POUR UN VIRUS AVEC UN TEST QUI NE TESTE PAS CE PRETENDU VIRUS ! Arrêtez de vous faire tester ! C'est un piège ! C'est un piège pour créer de faux cas par lesquels le fascisme peut ensuite être justifié de plus fort ! Un test dont l'inventeur a dit qu'il ne peut pas diagnostiquer des maladies infectieuses est utilisé pour diagnostiquer une maladie infectieuse.

 

Et 2/ et je dis cela pour les médecins et les professionnels de santé : ARRÊTEZ DE FAIRE DES FAUX CERTIFICATS DE DÉCÈS ! Je connais les pressions que vous avez de la hiérarchie. Mais si vous faites de faux certificats de décès pour créer une situation où les gens ont l'air de mourir d'un virus alors qu'ils meurent d'autres causes, VOUS êtes des COMPLICES du FASCISME et vous devez en prendre conscience !

 

3/ Et à présent nous voilà dans une situation où des milliards de personnes, tout d'un coup, des centaines de millions de personnes se promènent en portant une saleté de couche-culotte sur le visage ! Regardez-bien cette saleté ! Car c'est un symbole de soumission et d'oppression. Et cela a été utilisé dans ce but pendant toute l'histoire notamment pendant la traite des esclaves ! Mais cela (le masque) peut aussi être un symbole de liberté, lorsque nous, la population humaine, nous disons :

« C'EST TERMINE ! »  (et il jette le masque ; la foule applaudit)

METTEZ L'OPPRESSION À LA POUBELLE ET ESSAYEZ LA LIBERTÉ !

(la foule crie Liberté)

Pour gagner, les psychopathes doivent diviser pour régner car ils n'ont pas le choix : ils ne sont pas assez nombreux. Et donc l'anti-dote à cela est de nous réunir tous ensemble : toutes races, couleurs, espèces, âges, sexualités, de nous réunir et de faire tomber les lignes de fracture de la division.  NOUS RÉUNIR COMME UNE SEULE FAMILLE HUMAINE, UN SEUL CŒUR, UN SEUL BUT : LA LIBERTE !

 

Ceci n'est que le début ! Et nous serons là pour voir la fin ! 

Merci Birmingham ! Je vous aime ! »

mercredi 21 octobre 2020

Genocide au covid

 Décryptage de la Pandémie de Covid 19
Un exercice d’ingénierie sociale machiavélique
Par Amar − Septembre 2020
Tout le monde a pu voir récemment un certain nombre de très grands médecins et de professeurs en infectiologie, immunologie, génétique ou virologie se succéder sur les plateaux de télévision et de radio pour expliquer qu’ils ne comprenaient rien à la gestion de cette crise de la Covid-19 et aux différentes situations politiques paradoxales qui se sont enchaînées dès l’apparition du SARS-COV2 dans le monde.
Le professeur Christian Peronne, brillant médecin-professeur français exerçant à l’hôpital de Garches en région parisienne est l’un d’entre eux. Apparaissant de plus en plus interloqué émission après émission, il vient de publier récemment un livre dans lequel il recense « les erreurs majeures » que le gouvernement français aurait commis durant cette crise.
Or Monsieur Peronne fait radicalement fausse route comme d’ailleurs la plupart « des gens normaux » qui pensent que Boris Johnson s’est retrouvé à côté de la plaque ou encore qu’Agnès Buzin et son Comité scientifique « se sont retrouvés dépassés ».
Le souci c’est qu’en réalité, les gouvernements de la planète n’ont commis aucune erreur même si c’est ce que l’on voudrait bien nous faire croire. Ils n’ont fait que suivre les consignes qui leur étaient données par le Conseil Mondial lequel est sous l’emprise totale des eugénistes et malthusiens tels que Bill Gates ou David Rockfeller.
Au total, ce ne sont pas moins de 194 états dans le monde qui ont ratifié le Règlement Sanitaire International (RSI – 2005) de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Règlement, rappelons-le, qui prévoit qu’en cas de crise sanitaire majeure, tous les états membres s’engagent à respecter toutes les consignes émanant du Conseil Mondial et à faire en sorte que toutes ces consignes priment sur les lois et les codes juridiques des états.
Nous allons développer tout ceci un peu plus loin car c’est très important, d’autant plus que le Parlement Européen a fait promulguer une loi extrêmement dangereuse le 10 juillet 2020 afin de légaliser la vaccination des individus en leur inoculant des OGM et des nanoparticules lipidiques dont on ne sait absolument rien.
Qu’il s’agisse de Christian Peronne en France, d’Alberto Zangrillo en Italie ou de Denis Rancourt au Canada, on est toujours le même cas de figure. Celui où des gens innocents, naïfs et fondamentalement bons ne voient jamais « le Mal » tel que l’on devrait le voir, c’est-à-dire dans son essence la plus absolue et la plus machiavélique qui soit. Ils en sont incapables car ils pensent que tout le monde est comme eux.
Ils ne voient que des imperfections, des incohérences, des incompétences et des erreurs commises. Et comme leur nature est intègre et qu’ils sont des gens fondamentalement honnêtes, ils sont incapables de percevoir et de comprendre que cette crise du COVID vient de très loin et qu’elle a été intégralement orchestrée de A à Z.
Est-ce que quelqu’un se rappelle de la cérémonie macabre de l’ouverture des Jeux Olympiques de Londres en 2012 ? Non ? Et bien il faut la revoir. Le thème tournait autour d’une pandémie et pour tous les passionnés d’eurythmie, l’événement était truffé d’images satanistes et maçonnes.
Alors prémonition, prédiction ou hasard ?
En termes d’hypothèse tout est possible mais nous allons voir que rien n’est dû au hasard. Avec le recul, nous pouvons même penser que toutes ces histoires de nems de chauve-souris mal cuits et de pangolin mal grillé pour être revendu par un « Street cooker » dans un marché de Wuhan ne sont que des histoires pour enfants. Rien d’autre.
La preuve est que nous sommes déjà à la mi-septembre et nous n’avons toujours pas trouvé de patient « zéro ». Tout nous laisse penser que nous ne le trouverons pas.
La réalité est bien plus scabreuse, bien plus machiavélique et bien plus maléfique que tout ce à quoi l’on veut nous faire croire.
Le hasard, comme le disait Einstein, « c’est Dieu qui se promène incognito » et en arabe, ce terme désigne la chance ou le succès. C’est-à-dire, au sens probabiliste du terme, le fait qu’un événement considérablement improbable et incertain se réalise avec une précision divine.
Si tel est peut-être le cas dans le domaine de la physique quantique et relative ou encore dans le domaine des statistiques, c’est-à-dire dans ces domaines des sciences exactes où Dieu se promène partout entre la masse du proton, la fleur de vie et le nombre d’or, ce qui relève de la certitude, c’est que dans le domaine de la physique des affaires politiques, de l’ingénierie sociale et du contrôle des populations -et des pandémies évidemment-, Dieu n’y est pour rien.
L’homme en revanche y est quasiment pour tout et les crises ne sont bien souvent rien d’autre que des zones d’incertitudes, de risques et d’opportunités dans lesquelles ceux qui maîtrisent les événements et le temps, réalisent de formidables sauts qualitatifs. Ce qui veut bien dire que les crises sont délibérément organisées et déclenchées à des fins précises et aux moments voulus.
Dans la réflexion, la planification, l’organisation, le contrôle des médias, la manipulation génétique, la recherche d’armes biologiques et bactériologiques, la dissémination délibérée d’un virus ou derrière un lockstep économique et un lockdown des populations, l’homme est partout. Il pense à tout.
Qu’il s’agisse du conditionnement éducatif de nos enfants, de la manipulation des foules, de la répression et de l’intimidation des groupes réactionnaires comme ce fut le cas en France avec les gilets jaunes ou qu’il s’agisse de terrorisme affectif, l’homme pense vraiment à tout.
Pour vous convaincre par les sentiments, par exemple, la fabrique du consentement vous répétera, jusqu’à ce que vous le répétiez vous-même à vos semblables, par mimétisme social ou par amour de la servitude volontaire, que vous ne devez surtout pas rendre visite à vos grands-parents dans leur maison de retraite au prétexte que vous pourriez les tuer en leur transmettant un virus mortel.
Tous les moyens de communication le martèlent : leur isolement et le vôtre, sont pour votre bien.
Un peu comme si Orwell vous disait que « la guerre c’est la paix, la liberté c’est l’esclavage, l’ignorance c’est la force ».
Sans doute est-ce là encore un non-sens qui créé évidemment de la dissonance cognitive mais beaucoup le croient. La naïveté des hommes est sans limite.
Qu’importe que ceux qui nous aiment et qui ne vivent maintenant que pour voir leurs petits-enfants grandir, meurent de solitude, de stress et d’angoisse, de soif, d’abandon ou de désespoir, l’important est que vous, vous ne soyez pas responsable de leur mort.
En France, le 27 mars 2020, le gouvernement n’a pas hésité à interdire le traitement des patients atteint de la COVID-19 par hydroxychloroquine basant son décret sur l’étude truquée de la revue « The Lancet » et si les responsables de cette revue ont reconnu leur erreur, le gouvernement lui n’a pas changé d’avis.
Déclarant ainsi dangereuse, une molécule prescrite depuis plus de 60 ans à travers toute la planète et dont le Docteur Fauci disait, en 2005 dans un article, que cette molécule était d’une efficacité redoutable pour traiter le SARS-COV1 mais aussi tous les coronavirus.
Alors complot contre la santé ou hasard de calendrier ?
Il y a quelques jours, le New York Times publiait encore un article dans lequel l’auteur expliquait que le confinement avait tué 10 fois plus de gens que le virus lui-même mais cette information est passée totalement inaperçue dans les médias européens.
Par le terrorisme émotionnel, pour vous donner un autre exemple, la fabrique médiatique du consentement vous fera toujours croire que si vous ne voulez pas que votre bébé meure dans d’atroces souffrances, vous devez impérativement le vacciner contre une bonne douzaine de maladies et ce, avant même que son corps ait acquis sa propre immunité.
Qu’importe que votre enfant devienne plus tard autiste ou que les effets secondaires irréversibles de ces vaccins le rendent stérile ou développent chez lui, 30 ou 40 ans après, toutes sortes de maladies auto-immunes ou neuro-dégénératives qui seront beaucoup plus graves que les maladies contre lesquelles il est censé être immunisé.
L’important, pour tous ces ministres de la santé qui ne sont en réalité rien d’autre que les représentants commerciaux des grandes firmes pharmaceutiques, est juste que vous injectiez toute une série de vaccins payants dans le corps de ce petit être encore fragile et innocent, cet incroyable miracle de la nature.
Seuls comptent pour eux le volume des ventes, la rentabilité des investissements consacrés à la recherche et au développement et la hausse du cours de l’action de la société.
L’homme de pouvoir et assoiffé de contrôle, a toujours la fâcheuse tendance à toujours vouloir se prendre pour le Créateur et à toujours vouloir tout manipuler et refaire à sa place et je ne parle pas là des chefs d’état et des gouvernements qui ne sont que de simples exécutants. Je parle de ceux qui ont réellement le pouvoir. Ceux qui financent les bourses d’études et les campagnes électorales de ceux-là mêmes qui deviendront ensuite leurs débiteurs. Ceux dont on ne parle jamais.
Pourtant ces acteurs de l’ombre impriment la monnaie et décident de votre paix si vous leur contractez un prêt ou installez une de leurs banques centrales sur votre territoire. Le cas échéant, comme ce fut le cas en Libye, ils décident de vous renvoyer à l’âge de pierre.
« Le monde », disait Nicholas Butler, « se divise en 3 catégories : un très petit nombre qui fait se produire les événements, un groupe un peu plus important qui veille à leur exécution et les regarde s’accomplir, et enfin une vaste majorité qui ne sait jamais ce qui s’est produit en réalité ».
Ce que nous proposons ici est une grille d’analyse de la situation d’aujourd’hui car oui, l’homme de pouvoir et de contrôle souhaite tout contrôler et surtout quand il s’agit de contrôler l’avenir et l’évolution démographique et génétique de notre espèce.
L’opération COVID-19 est une pure opération d’ingénierie sociale et nous allons le voir.
Derrière la terreur et la psychose, plus de contrôle et encore moins de Liberté
Les eugénistes et les malthusiens disent souvent que rien n’est plus dangereux pour notre planète et notre avenir que la surpopulation.
À Alberton, dans l’état de Géorgie aux États-Unis, ces grands penseurs de l’avenir de l’humanité ont même gravé cette recommandation démographique dans le marbre et pour être bien sûrs que personne ne l’oublie, ils l’ont faite graver et écrire en 8 langues sur 6 énormes blocs de marbre ne pesant pas moins de 108 tonnes.
Maintenez l’humanité en-dessous de 500 millions d’individus en perpétuel équilibre avec la nature.
Très bien et merci du conseil mais nous sommes actuellement 7,5 milliards d’individus et pour atteindre cet objectif, je pense que nous avons ici « un léger » problème. Alors comment faire…
John Holdren et Paul et Anne Ehrlich ont apporté des solutions. Ils les ont même écrites et publiées dans un livre qui s’appelle « ECOSCIENCE ». Un livre fou dans lequel on peut lire toute une série de mesures pour mener à bien cette opération de réduction de la population planétaire comme le fait d’« ajouter des stérilisants dans l’eau du robinet et les aliments de base, des perturbateurs endocriniens, de légaliser les drogues et les neurotoxiques » ou encore de « libérer des virus hautement pathogènes ». Voilà qui est intéressant.
Rien n’est inventé et tout est dans ce livre qui est « La référence et la bible » des mondialistes tels que Bill Gates ou David Rockfeller lequel disait encore il y a quelques années que « nous sommes à la veille d’une transformation globale et tout ce dont nous avons besoin, c’est d’une bonne crise majeure pour que les nations acceptent le Nouvel Ordre Mondial ».
John Holdren a été un collaborateur particulier d’Obama et il est un ami proche des Clinton, de Bill et Melinda Gates et de David Rockfeller.
En mai 2010, la Fondation Rockfeller a publié un rapport extrêmement intéressant sur son site.
Il s’intitule : «Scenarios for the Future of Technology and International Development ». Ce rapport est public et tout comme dans ECOSCIENCE, on y trouve tout ce qu’il faut savoir sur les pandémies, les confinements et les vaccins. De plus en plus intéressant n’est-ce pas.
A la page 18 de ce rapport, on y trouve un chapitre intitulé « LOCKSTEP », c’est-à-dire la mise à l’arrêt ou le verrouillage économique mondial en cas de pandémie. Certes il ne s’agit que d’un scénario sous forme de dystopie mais aujourd’hui il est malheureusement bien réel et tout ce qui nous est arrivé y est décrit avec une précision inouïe.
Or on ne peut pas comprendre la crise de la COVID-19, comme c’est le cas pour les professeurs Perrone, Raoult, Henrion-Caude, Toubiana ou Toussaint, si l’on ne se donne pas la peine de contextualiser ce jalon sanitaire dans le temps long. C’est-à-dire de le voir comme l’étape d’un programme mondialiste plus global et plus complexe.
Les auteurs de ce scénario morbide n’ont fait que se pencher sur la question du comment faire pour arrêter l’économie mondiale et imposer toutes sortes de restrictions et de mesures aux populations. Ils ne sont pas à l’origine de ce projet pour ce qui est de l’aspect économique, écologique et logistique, de l’exploitation et de la gestion de nos ressources. L’idée est née en 2005, dans le rapport Meadows réactualisé. C’est là où il était déjà question de LOCKSTEP à un horizon de 15 ans.
Il est intéressant de noter que le premier vice-président du Club de Rome a été David Rockfeller. Celui-là même qui a commandé le premier rapport Meadows et qui a été publié en 1972.
Dès l’antiquité les mésopotamiens, les égyptiens et les chinois recensaient leur population pour s’assurer un parfait contrôle démographique. Il s’agissait d’une question existentielle fondamentale car c’est de la bonne gestion des ressources caloriques et des effectifs humains aptes à défendre puis assurer la protection de l’espace vital, que dépendait la survie du groupe.
Cette question du recensement et de la maîtrise démographique des populations, à des fins martiales ou socio-économiques, pour le travail dans les champs puis dans les mines et les manufactures, a toujours obsédé les hommes et a toujours fait partie de notre histoire. C’est une question essentielle.
Ce qui vient bousculer cette question plutôt simple pour notre époque, c’est l’arrivée de l’intelligence artificielle.
Il n’y a pas de hasard rappelons-le. Tout est calculé et pensé plusieurs dizaines d’années à l’avance.
En démographie, il est même très courant de faire des projections sur plusieurs centaines d’années.
Bill Gates, dans une interview accordée à John Kennedy Junior et qui a été publiée dans le magazine mensuel George en février 1997 sous-titrée « guide pour le futur 2020 », il dit exactement ceci : « je finance des projets d’éducation, je finance le contrôle de populations, je suis très impliqué dans le programme United Way ». C’est à la page 101 du magazine pour ceux qui ont chez eux ce numéro qui se vend aujourd’hui sur le marché des collectionneurs à plus de 5000$.
Pendant que la plupart d’entre nous avons le nez dans le guidon ou vivons comme les rats de Didier Desor, c’est-à-dire à essayer de survivre dans cette « rat race » perpétuelle sans comprendre réellement le sens du miracle de la vie, d’autres réfléchissent pour nous.
Ils pensent, prévoient et organisent nos vies, à tort ou à raison, jusqu’à décider de qui est utile sur cette planète et qui ne l’est plus.
Comprenez bien que l’accélération technologique et l’accélération de l’innovation, et surtout la pénétration de l’intelligence artificielle dans tous les aspects de notre vie quotidienne, vont inéluctablement changer le monde pour toujours.
Il faut être vraiment naïf ou incroyablement rêveur pour croire que les fondations telles que la fondation Rockfeller ou la fondation Bill et Melinda Gates investissent des milliards de dollars dans la recherche biologique et bactériologique ou dans les vaccins pour le bien être de l’humanité.
Comment peut-on croire naïvement un seul instant que ce sont ceux-là même qui essaient de maîtriser et de réduire la population qui vont nous sauver des virus et des pandémies ?
Muammar Kadhafi, paix à son âme, dans son extraordinaire et mémorable discours du 23 septembre 2009 à l’ONU, disait que « les virus étaient créés et propagés dans le monde pour que les entreprises pharmaceutiques fassent des profits grâce à la vente des médicaments ».
Il ajoutait que « les médicaments et les vaccins ne devaient pas être vendus. Les médicaments ne se vendent pas. Annoncez la gratuité des médicaments et des vaccins dans le monde », disait-il « et vous n’aurez plus jamais de virus en circulation car les virus sont créés pour que des vaccins soient mis au point pour que les grandes entreprises capitalistes en tirent profits ».
Kadhafi avait-il tort à ce sujet ? Rien n’est moins sûr. Mais attendez, tout n’est pas qu’une question de profit.
Il y a environ un peu plus de 2 ans et demi, le 11 janvier 2017 plus exactement, le docteur Antony Fauci que nous ne présentons plus, nous prophétisait avec une certaine audace et un aplomb dont lui seul a le secret, qu’il n’avait « aucun doute sur le fait que Donald Trump aurait à faire face à une pandémie avant la fin de son mandat ».
Événement incroyable mais vrai, Donald Trump et le monde entier affrontent aujourd’hui une pandémie.
Curieuse prédiction n’est-ce pas ? Surtout lorsque l’on sait que l’intégralité des médias de la planète à l’époque titrait quotidiennement que Donald Trump était un fou et un va-en-guerre et que nous étions tous les jours à 2 doigts de l’apocalypse ou d’une guerre atomique généralisée.
Rappelez-vous de ce qu’écrivait la presse française en 2017 : Donald Trump veut la guerre contre « Rocket Man » et la Corée du Nord, Donald Trump peut déclarer la guerre à Rohani ou encore Donald Trump menace Maduro et les vénézuéliens.
Résultat après presque 4 ans de présidence : zéro guerre et plusieurs accords de paix signés grâce à son action. Alors virus de la nature ou virus délibérément propagé ?
Dans un rapport de l’OMS publié en septembre 2019 et qui s’intitule Global Preparedness Monitoring Board et dont un des auteurs est Antony Fauci, il est exactement question de la dissémination délibérée d’un virus respiratoire mortel à des fins d’exercice sur la période septembre 2019-septembre 2020.
Au paragraphe « Indicateurs de progrès », page 10, il est écrit :
Les Nations Unies (y compris l’OMS) organisent au moins deux exercices de formation et de simulation à l’échelle du système, dont un couvrant la dissémination délibérée d’un agent pathogène respiratoire mortel.
L’OMS met au point des facteurs déclencheurs intermédiaires pour mobiliser une action nationale, internationale et multilatérale dès le début d’une flambée, afin de compléter les mécanismes existants pour les stades ultérieurs et plus avancés d’une épidémie dans le cadre du RSI (2005).
Le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies convoque un dialogue de haut niveau avec les responsables de la santé, de la sécurité et des affaires étrangères pour déterminer comment le monde peut faire face à la menace d’une pandémie due à un agent pathogène respiratoire mortel, et pour gérer la préparation aux épidémies dans des situations complexes où règne l’insécurité.
Dans le magazine hebdomadaire The Economist et dans un des numéros paru en fin d’année 2018 et qui s’intitule « The World In 2019 », il était déjà question de la survenue d’un événement exceptionnel qui allait semer la mort et l’apocalypse à travers le monde.
Sur la première de couverture, où les fans de ce magazine y trouvent toujours une page entière consacrée à l’eurythmie où le jeu consiste à deviner (et à se préparer) pour tous les événements de l’année à venir, on peut y voir beaucoup de dessins comme notamment ceux du président chinois en Pinocchio (le menteur), un QR code sur un téléphone, un ARN incomplet ou encore une cigogne portant un bébé avec un code barre.
Mais les plus intéressants de tous ces dessins sont les figures représentant les 4 cavaliers de l’apocalypse, le panda fâché regardant Donald Trump et le pangolin.
Alors pour en revenir à nos probabilités et aux événements improbables et incertains, c’est-à-dire aux cygnes noirs, pourquoi diable les Rothschild, qui sont les propriétaires de ce magazine et les initiateurs de ce jeu divinatoire pour initiés, ont-ils choisi le pangolin pour figurer sur cette première de couverture alors qu’il existe près de 8 millions d’espèces animales dans le monde ?
J’en avais déjà parlé dans un article paru en février 2019 intitulé « Vers davantage de contrôle et moins de liberté » mais je n’avais toutefois pas précisé que l’événement dont il était question et qui allait survenir en 2019, allait être une pandémie. Ce n’est qu’à la fin de l’été que les choses ont semblé se préciser.
Il est vrai aussi que le fait de voir ce panda fâché dévisager Donald Trump et qui reste inflexible et déterminé peut nous laisser penser que l’apparition du SARS-COV2 dans le monde relève d’un début de guerre bactériologique entre la Chine et les États-Unis.
D’autant plus qu’il y a un peu plus d’un an, le 5 août 2019, nous apprenions par l’intermédiaire du New York Times qui rapportait dans l’un de ses articles, que l’armée de terre américaine venait juste d’ordonner la fermeture du laboratoire militaire de Fort Detrick dans le Maryland. C’est un laboratoire militaire de classe Pathogène 4 (P4) donc de très haute sécurité, rappelons-le, et dans lequel ne sont effectuées que des recherches au contact de virus exceptionnellement mortels à des fins de production d’armes biologiques et bactériologiques.
Il est important par ailleurs de noter que le laboratoire de Fort Detrick avait déjà été au coeur de plusieurs scandales aux États-Unis dont celui qui a donné lieu à l’affaire « Drop Kick », opération militaire durant laquelle l’armée américaine a délibérément relâché dans des zones civiles des centaines de milliers de moustiques porteurs de la malaria à des fins de tests.
Il s’agit juste d’une parenthèse importante pour bien faire comprendre aux lecteurs que lorsqu’une organisation militaire ou scientifique veut relâcher un virus dans la nature à des fins d’exercice ou de test, il ne s’agit pas de complotisme. Cela existe et l’opération « Drop Kick » est un exemple qui n’a été ni une erreur ni un cas isolé.
Si à cela on ajoute d’autres événements tels que l’assassinat étrange du chercheur sino-américain Bing Liu, la fuite rocambolesque de la chercheuse chinoise Juan Tang pour se réfugier dans l’ambassade chinoise de San Francisco et dans le même temps la fuite « à la Spy Game » de la chercheuse et spécialiste mondiale des coronavirus Li-Meng Yan vers les États-Unis, il y a vraiment de quoi être dérouté.
Cependant, après quelques mois de réflexion et un peu de recul, ce que nous trouvons sur le site du Forum Économique Mondial nous démontre bien que la première hypothèse est la bonne, la seconde est un leurre.
À savoir que nous sommes bien dans le cas où la dissémination délibérée d’un virus respiratoire mortel a pour objectif d’amener l’humanité à changer de paradigme. Pas dans le cas d’une pandémie naturelle.
Si vous vous rendez sur le site du Forum Économique Mondial et que vous allez sur l’onglet « platforms » et que vous cliquez ensuite sur « covid action platform » vous y lirez déjà des informations extrêmement intéressantes.
Déroulez ensuite votre curseur et cliquez après sur le graphique en forme de coronavirus tel que celui ci-dessous. C’est le même. Il va s’afficher et devenir interactif.
Cliquez ensuite sur « Avoiding COVID-19 Infection and Spread ». C’est stupéfiant.
Vous y verrez clairement que si vous voulez sortir de cette pandémie et en éviter d’autres, la seule piste qui vous est proposée est celle du gouvernement mondial, de la transhumance et la voie du vaccin.
Alors si nous savons déjà beaucoup de choses sur le gouvernement mondial, l’intelligence artificielle et l’homme augmenté, ce que nous savons moins en revanche et dont nous avons moins connaissance, ce sont toutes ces choses satellites au vaccin et c’est là, où les choses deviennent très intéressantes.
Dans le brevet qu’a déposé Microsoft le 26 mars 2020, il est écrit :
L’activité du corps humain associée à une tâche fournie à un utilisateur peut être utilisée dans un processus de minage d’un système de cryptomonnaie. Un serveur peut fournir une tâche à un dispositif d’un utilisateur qui est couplé de manière à communiquer avec le serveur. Un capteur couplé de manière à communiquer avec un dispositif de l’utilisateur ou compris dans ce dernier peut détecter l’activité corporelle de l’utilisateur. Des données d’activité corporelle peuvent être générées sur la base de l’activité corporelle détectée de l’utilisateur. Le système de cryptomonnaie de la présente invention couplé de manière à communiquer avec le dispositif de l’utilisateur peut vérifier si les données d’activité corporelle satisfont une ou plusieurs conditions définies par le système de cryptomonnaie, et attribuer une cryptomonnaie à l’utilisateur dont les données d’activité corporelle sont vérifiées.
Alors quelques questions se posent et elles sont les suivantes :
 Comment va-t-on équiper tous les êtres humains de censeurs qui pourront à la fois détecter le mouvement des bras et des jambes, la position assise ou couchée, l’activité physique de l’activité cérébrale ?
 Quel est le rapport entre les cryptomonnaies, la 5G et les données d’activité corporelle ?
 Est-ce que le futur vaccin contenant cet ARN génétiquement modifié et dont l’autorisation de mise sur le marché a été voté ce 10 juillet 2020 par le parlement européen n’a pas vocation à modifier notre ADN et le rendre facilement identifiable par un réseau d’intelligence artificielle ?
Même s’il est difficile de répondre à ces questions dans l’immédiat, il est très important de bien comprendre que l’ère dans laquelle nous entrons est inéluctablement celle de l’intelligence artificielle. Dans cette nouvelle ère, ce qui est également très probable est le fait que beaucoup d’êtres humains n’y trouveront sans doute plus leur place et deviendront obsolètes.
Ils seront progressivement éliminés.
De la même façon qu’aujourd’hui les chiens robots sont venus progressivement remplacer les soldats au devoir, à la surveillance frontalière ou en zone de guerre, il est évident que le Capital de demain ne pourra pas garder et payer les gens à la maison à ne rien faire. Absolument tout sera remplacé par l’intelligence artificielle. Y compris la police et l’armée et ce n’est pas une fiction.
Quant aux autres, ceux qui resteront, les augmentés, ils seront tous inéluctablement tous bio-connectés à une intelligence artificielle qui les gérera ou les éliminera s’il y a lieu de le faire. Nous le répétons, ce n’est pas de la science-fiction et nous ne sommes pas dans un film.
Tout ceci est la réalité mais il est très difficile de la saisir dans le temps présent alors que la compréhension de l’ensemble du projet s’inscrit, elle, dans le temps long.
Cette « pandémie » qui a été mise au point par tous ces gens machiavéliques qui décident de l’avenir des peuples et dirigent le monde, n’a rien d’un jeu pour enfant.
Si nous sommes bien dans un cas de figure tel que le décrit l’OMS à travers ses publications et comme le publie également le Forum Économique Mondial sur son site, nous sommes en droit de nous demander quelle sera alors l’issue de cette partie finale qui se jouera entre ceux qui veulent nous contrôler et nous posséder d’une part et ceux qui ne veulent pas de ce projet d’autre part ?
Pour répondre à ces nombreuses questions qui pointent du doigt les incompétences et les erreurs des gouvernements dans la gestion de cette crise et cet entretien de la terreur par les effets statistiques via la propagande médiatique, force est de constater qu’il ne s’agit pas d’erreur mais bien de stratégie.
Le 18 octobre 2019, au Johns Hopkins Center for Health Security à New York, il s’est sans doute tenu, concernant l’avenir du monde, la réunion la plus importante de toute l’année 2019.
Il s’agit de l’Event 201.
Cette réunion, organisée en partenariat entre le centre John Hopkins, la fondation Bill et Melinda Gates et le Forum Économique Mondial, avait pour objectif de préparer l’exercice dont parle l’OMS dans son Global Preparedness Monitoring Board de 2019. Elle s’est tenue en public avec des invités particulièrement triés sur le volet et sous forme d’une pièce de théâtre où chacun avait un rôle bien précis. La simulation consistait à se préparer à la prochaine pandémie mondiale qui, selon les chiffres avancés lors de cette réunion, allait faire plus de 65 millions de morts sans compter les dégâts incommensurables qu’une telle catastrophe allait provoquer sur l’économie globale : soit une chute du PIB mondial de 11 points.
Ce qui est intéressant à savoir c’est que tous les gouvernements et la plupart des grands médias de la planète étaient au courant de cette réunion. Seulement personne n’en a parlé. La consigne était de ne pas en parler. Pourtant cet exercice n’était pas qu’une simulation, c’était une véritable préparation à la pandémie qui allait venir quelques semaines plus tard mais si vous répétez cela, vous serez désigné comme complotiste et vous serez discrédité à vie.
Si vous regardez bien le parcours professionnel des personnages politiques en fonction, vous verrez que la plupart des Ministres de la santé viennent presque tous du privé et ont tous des liens plus ou moins étroits avec les plus grandes entreprises pharmaceutiques de la planète.
Et alors diront les libéraux dont je fais partie ? Est-ce interdit ? Bien sûr que non. Oui c’est légal et ce n’est pas un mal en soi.
Comment ces gens, qui sont censés travailler pour le bien-être et l’intérêt des peuples et des nations, peuvent agir en même temps dans l’intérêt des entreprises pharmaceutiques, dont le seul objectif et unique est de rendre malades les peuples et les nations pour ensuite leur revendre des traitements sous licences afin de faire un maximum de profits ?
N’y a-t-il pas là un conflit d’intérêt ? Bien évidemment que oui.
Rappelez-vous car nous l’avons vu plus haut, qu’en cas de crise sanitaire mondiale, comme c’est le cas avec la crise du COVID-19, tous les états membres doivent impérativement accepter de suivre les consignes du Conseil Mondial lequel est dirigé actuellement par Madame Gro Harlem Brundtland.
Une charmante dame très connue pour avoir échappé à la mort lors de la tuerie d’Utoya en Norvège et dont le père, Gudmund Harlem, était redevable à la fondation Rockfeller qui a bien voulu financer ses études de médecine.
La création et la présentation du Conseil Mondial a été officiellement annoncée par communiqué de presse par l’OMS le 24 mai 2018. Son rôle est, en cas de pandémie, de réunir tous les dirigeants du monde et de leur donner les consignes à suivre pour endiguer la pandémie en cours sur leur territoire. Sa création est le résultat d’un travail conjoint entre l’OMS et le Groupe de la Banque Mondiale.
Petit flashback intéressant concernant la Banque Mondiale.
Le 28 juin 2017, la Banque Mondiale, qui est une Banque censée aider les pays les plus pauvres de la planète, a eu l’incroyable idée d’émettre sur le marché des obligations, des « Pandemic Bonds ». C’est-à-dire des bons obligataires à un horizon de 3 ans basés sur un risque de pandémie. Une idée folle n’est-ce pas ? Pas tant que ça à vrai dire surtout si vous êtes une banque, un fond de pension ou un fond d’investissement et que vous êtes au courant, -et en droit financier cela s’appelle le délit d’initié-, qu’il va y avoir une pandémie.
A votre avis, combien de banque accepteraient de se lancer, -de façon hasardeuse-, dans l’émission de telles obligations sans avoir la certitude de ramasser le jackpot avant la fin du contrat ? Aucune.
Mais comment voulez-vous prévoir une pandémie ? C’est tout simplement impossible.
Alors en quoi consistent ces pandemics bonds ? C’est très simple.
La Banque Mondiale vend pour X millions de dollars de bons à des fonds, des sociétés ou des états en misant sur le fait qu’il y aura une pandémie avant le 15 juillet 2020. Ceux-ci fonctionnent comme des contrats d’assurance avec des rendements allant jusqu’à 12%. Si une pandémie est déclarée avant le 27 juin 2020, alors les acheteurs de ces contrats perdent leur mise et une partie de l’argent collecté est reversé aux pays les plus pauvres de la planète (75 états). S’il n’y a pas de pandémie, les investisseurs récupèrent leur mise de départ et les intérêts en découlant.
Aujourd’hui, toutes les structures qui ont investi dans les pandemics bonds disent qu’il y a anguille sous roche et ont perdu leur mise. Ce qui est intéressant également à noter c’est que les pays les plus pauvres de la planète n’ont toujours pas touché leurs aides. Ces contrats en effet, qui prenaient en compte le virus concerné, le début de la pandémie, son évolution ou encore le nombre de morts, etc., étaient en réalité bien plus complexes qu’ils n’en avaient l’air.
Pour Arturo Bris, professeur de finance, il n’y a aucun doute. « Les gens qui sont à l’origine de la création et de l’émission des pandemic bonds étaient au courant du fait qu’il allait y avoir une pandémie de coronavirus avant le 15 juillet 2020 ».
Ce sont de graves accusations mais sont-elles infondées et farfelues ? Pas si sûr.
A ce stade, il est maintenant très difficile de défendre l’idée que le SARS-COV2, qui provoque cette pathologie respiratoire dénommée la COVID-19, est un virus venu de la nature et que personne n’était au courant comme il est encore plus difficile de croire que tout le monde a été surpris et pris de court et que tous les gouvernements de la planète ont été des amateurs.
Peut-être que la Chine a menti, comme un Pinocchio sur une page de couverture, et peut-être même que l’état profond chinois a été complice dans la dissémination délibérée de ce virus et dans le lancement théâtral de cette pièce tragique et funeste. Nous ne le saurons peut-être jamais.
Ce qui est certain et que nous commençons à comprendre, c’est que dans cette ère où l’intelligence artificielle est censée remplacer l’homme, nous irons de surprise en surprise.
Le vaccin final et le projet « Trust Stamp » de Bill Gates
Le souhait de Bill Gates et des eugénistes, et qui est de vouloir coûte que coûte contrôler et vacciner toute la planète sous couvert d’avancées humanitaire et philanthropique, ne date pas d’hier.
Comme le montre la photo ci-dessous, le père du créateur de Microsoft, est en pose très confiante avec David Rockfeller et son petit-fils. Il est au milieu et c’est très révélateur.
Le projet conjoint « Trust Stamp » de la fondation Bill et Melinda Gates, de la fondation Rockfeller et de Mastercard consiste à vacciner tous les êtres humains sous couvert d’alibis pour enfants comme par exemple la lutte contre le blanchiment ou la lutte contre le trafic d’êtres humains, de faux arguments que chacun peut trouver sur l’onglet « humanitaire » du site.
La réalité est tout autre et d’ailleurs, les premières expériences de vaccination sont déjà en cours en Afrique de l’Ouest. Intéressant de voir que c’est toujours en Afrique, en Inde ou dans les régions les plus pauvres de la planète que Bill Gates et ses amis philanthropes essaient toujours leurs dernières trouvailles.
L’organisation « ID2020 », qui est également le nom d’un autre projet conjoint de vaccination planétaire piloté par Bill Gates et dont les principaux partenaires sont là encore les fondations Gates et Rockfeller, s’engagent à fournir une identité numérique aux milliards de sans-papiers qui migrent à travers le monde.
S’agissant du vaccin, qui est déjà en train d’être massivement inoculé en Afrique et au Bangladesh et qui contient non seulement l’ARN capable de modifier notre génome en temps réel mais aussi les nanoparticules censées interagir avec les réseaux d’intelligence artificielle auxquels tous les vaccinés seront connectés, il est impossible dans l’immédiat de prédire quels seront les effets premiers et les effets secondaires.
Du point de vue juridique, les citoyens vaccinés n’auront aucun recours possible pour se défendre car, comme vous le savez sans doute, aucune des sociétés qui développent et produisent des vaccins n’est passible de poursuite devant un tribunal de par le monde ni devant une quelconque juridiction. Dans ce domaine, les entreprises pharmaceutiques bénéficient d’une immunité judiciaire sans limite.
Du point technique et sanitaire, dans un cas où tout le monde serait vacciné et répertorié selon le projet ID2020 étendu et que nous devions évoluer dans un système verrouillé tombé aux mains de radicaux fous et totalitaires, il serait impossible de se défendre et de se retourner contre ceux qui n’auraient qu’un clic à effectuer pour nous ôter la vie au cas où il nous viendrait l’idée de nous révolter ou de vouloir contester un ordre.
La COVID-19 est bien la crise majeure dont parlait David Rockfeller il y a quelques années.
Les eugénistes-malthusiens-transhumanistes ont actuellement le pouvoir et il va être très difficile de le leur ôter. L’argent est bien souvent le nerf de la guerre et ils en impriment à profusion. Ce sont eux qui ont le doigt sur l’imprimante et elle tourne à plein régime.
Dans un récent article publié sur le site de Futurama, qui présente la start-up « Neuralink » et ses travaux, les auteurs expliquent très bien la velléité du transhumanisme qui est celle de connecter l’homme à la machine, c’est-à-dire l’humanité à l’intelligence artificielle, via un « neural lace », c’est-à-dire un implant greffé au cerveau.
Alors certes, les travaux de cette société appartenant au célèbre milliardaire Elon Musk en sont encore à implanter des puces sur les cerveaux des cochons mais les premiers résultats sont là et ils sont prometteurs.
Derrière l’argument du progrès et de l’aide que va apporter ce nouveau système d’assistance neurologique aux paralysés, aux sourds et aux malentendants, aux aveugles, aux malades d’Alzheimer ou de Parkinson, il existe une autre réalité dans les coulisses du transhumanisme et celle-ci n’est jamais mise en avant. Elle réside dans la prise de pouvoir qui pourrait donner, à une seule personne, le contrôle de toutes ces intelligences artificielles et par là même le contrôle total sur une humanité connectée.
Car il n’y a aucun doute sur le fait qu’après avoir greffé les cochons on en vienne à greffer les hommes.
Qu’en sera-t-il si vous ne contrôlez plus vos pensées, vos faits et vos gestes ? Qu’en sera-t-il si l’intelligence à laquelle vous êtes connecté subit un bug ? Que pourrez-vous faire si vous n’avez plus le contrôle de votre vie, de votre corps, le contrôle sur vos enfants ? Que pourrez-vous faire si quelqu’un venait à pirater l’intelligence à laquelle vous êtes connecté et à en prendre le contrôle ?
Il n’est pas évident de répondre à toutes ces questions.
Pour vous donner un exemple de dérive, sachez qu’en ce moment même, si jamais vous sortez sans masque ou que vous refusez d’en porter un dans les rues de la région du Québec, et bien vous risquez de vous retrouver dans des camps pour détenus ayant peut-être la COVID pour une durée de 14 jours. Renouvelables à chaque rencontre fortuite. Vous en sortez, vous rentrez chez vous et là, la police vous contrôle à nouveau. Vous repartez en camps pour détenus COVID et ainsi de suite tant que durera la situation d’urgence sanitaire. C’est en tout cas ce qu’expliquait le docteur Jacques Girard lors d’une intervention publique le 2 septembre dernier sans toutefois répondre à la question d’une journaliste qui lui demandait où étaient enfermés les dissidents à cette crise.
Vous l’avez compris, l’état de crise sanitaire dans lequel nous sommes plongés depuis déjà plus de 6 mois, autorise les autorités à arrêter quelqu’un sur une simple suspicion et à le détenir 14 jours.
À partir de là, personne n’est autorisé à savoir où l’interpellé est détenu ni avoir la garantie qu’il ne mourra pas potentiellement de la COVID pour être ensuite incinéré comme le veut le protocole sanitaire.
Ce qui est plus facile également à comprendre en revanche, c’est que ceux qui pensent, décident et dirigent ce monde ont déjà commencé à jouer avec le feu et ils ne sont plus en mesure de le contrôler. Un peu comme si un joueur dans un casino n’arrivait plus à se contrôler et à s’arrêter.
L’OMS, dans son GPMB de 2019, parle bien de « deux exercices » de formation et de simulation à l’échelle du système, dont un couvrant la dissémination délibérée d’un agent pathogène respiratoire mortel.
Le premier, nous le connaissons. Il a consisté en la dissémination délibérée du SARS-COV2, alerter les populations sur le danger mortel de contracter le virus, arrêter l’économie, confiner les populations et leur rendre une semi-liberté sous conditions. C’est-à-dire qu’elles portent le masque et qu’elles acceptent un ou des éventuels reconfinements jusqu’à ce que le Conseil Mondial ordonne la fin officielle de la pandémie ou fournisse une solution : le vaccin.
Le second consistera probablement à vacciner toute la population mondiale et à lui inoculer tout ce dont nous avons parlé plus haut avec l’alibi de vouloir tous nous sauver de la COVID-19, cette maladie qu’ils ont en réalité eux-mêmes propagée. Maladie qui, au passage, est extrêmement dangereuse pour les familles qui veulent se promener sur la plage mais qui est sans aucun danger pour les manifestations Black Lives Matter que les autorités du monde entier ont autorisées.
Voilà plus de 40 ans maintenant que les chercheurs de tous les pays essaient de développer un vaccin contre le virus qui provoque chez l’homme le Syndrome d’Immunodéficience Acquise (SIDA).
Y sont-ils arrivés malgré les budgets pharaoniques qui leur ont été attribués? Non.
Et vous savez pourquoi ? Parce qu’il est impossible de se prémunir contre des virus qui s’adaptent et évoluent en passant d’un organisme vivant à un autre, d’un homme à un autre.
Les coronavirus sont une famille de rétrovirus à ARN très répandus et chaque année, dans tous les pays, les instituts d’infectiologie en dénombrent à chaque fois 4 ou 5 nouveaux plus ou moins coriaces. Tantôt ils sont bénins, tantôt ils peuvent provoquer des complications respiratoires sévères.
En France et dans le reste de l’Europe, ils sont très nombreux à circuler dans les cours d’écoles, dans les transports en commun ou dans tous les lieux publics.
Dès que nous approchons des moments de fortes amplitudes thermiques, dans les saisons où nous passons du chaud au froid ou du froid au chaud très rapidement, tous ces virus, qui sont dit saisonniers, se manifestent et s’installent. Ils nous rendent malades et puis disparaissent.
Un article publié sur le site Sciences et Avenir et dont le sujet est dans le titre : « et si on ne trouvait jamais de vaccin ? » explique plutôt bien et gentiment les dessous de la recherche vaccinale sur les virus à ARN.
A-t-on trouvé un vaccin contre SARS-COV1 ? Non. Il n’en existe pas et on n’en trouvera jamais alors par quel miracle trouverons-nous un vaccin contre le SARS-COV2 ?
C’est une foutaise et c’est la même foutaise que celle du trou dans la couche d’ozone. Rappelez-vous tout l’argent qu’ont prélevé les gouvernements via toutes sortes de taxes pour sauver le trou dans la couche d’ozone. Puis on n’en a plus parlé du jour au lendemain.
Mais les humbles veillent et vous posent la question : où est passé le trou dans la couche d’ozone ?
Les véritables objectifs des dirigeants de ce monde ne sont pas de sauver l’humanité mais de lui donner le coup de grâce. Ce qu’ils veulent c’est lui imposer un contrôle total et totalitaire et réduire le nombre d’individus à un seuil gérable du point de vue démographique et politique, et de faire en sorte que sa mise en servitude soit définitive.
Il y a quelques jours à peine, le professeur Raoult de l’IHU de Marseille, dont nous ne sommes ni les contradicteurs ni les admirateurs, disait qu’il y avait en circulation sur le sol français, non pas une souche de coronavirus SARS-COV2 mais 7 différentes. Des souches mutantes. C’est-à-dire des souches ayant changé au fur et à mesure qu’elles passaient d’un hôte à un autre.
Ce qui est surtout intéressant de savoir concernant le SARS-COV2, c’est qu’il n’est absolument pas un virus provenant de la nature mais un virus issu d’un croisement, comme l’affirme la professeur Li-Meng Yang, une spécialiste mondiale des coronavirus. Elle est aujourd’hui réfugiée aux États-Unis et protégée par le FBI.
Dans une interview accordée à la chaine NewsMax il y a environ 1 mois, elle expliquait que ce virus, sur lequel elle travaillait en particulier lorsqu’elle était en fonction au laboratoire P4 de Wuhan en Chine, n’a rien de naturel et qu’il est le croisement de deux coronavirus ; celui du pangolin et celui de la chauve-souris.
Le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine pour avoir découvert le virus du SIDA, a été quant à lui le premier francophone à dénoncer le fait incroyable et étrange que dans le génome du SARS-COV2, on y retrouvait des séquences génétiques du virus du SIDA.
Dans une interview accordée à la chaîne Thana TV, il explique cette manipulation, ces insertions et les dérives qui guettent l’humanité tout en s’inquiétant du fait que nous « vivons dans un monde de fou » pour reprendre ses termes.
Alors qu’allons-nous dire à nos enfants lorsqu’ils nous demanderont pourquoi nous n’avons rien fait lorsqu’il était encore temps ?
À ce stade, il n’y a plus aucun doute que les mesures contradictoires et paradoxales prises par les autorités sanitaires durant la gestion de cette crise n’ont pas d’autres objectifs que de créer de la dissonance cognitive chez les individus afin de briser leur rationalité.
Cette dissonance nous empêche ainsi de réfléchir et d’en arriver à la conclusion que nous vivons une véritable manipulation. Comment se fait-il qu’aucun média n’apporte de contradiction ou ne remette en question toutes les mesures sanitaires gouvernementales qui jusqu’ici n’ont été que des échecs ?
N’y a-t-il pas là une communication de programmation et de conditionnement ?
Joseph Goebbels disait : « Un mensonge répété à quelqu’un restait toujours un mensonge mais un mensonge répété 1000 fois et partout devenait une vérité ». C’est terrible à dire mais malheureusement c’est exactement ce qui en train de se passer et c’est entre autre pour cette raison que Luc Montagnier dit que nous vivons dans un monde de fou.
Plus personne n’ose contester le port du masque alors que des centaines d’études à travers le monde ont démontré que, non seulement il était inefficace mais qu’il était également dangereux. On ne compte plus le nombre de personnes ayant eu des troubles ou des accidents à cause du port prolongé du masque et la semaine passée, une fille de 13 ans est décédée en Allemagne après s’être évanouie dans le bus à son retour de l’école. Une autopsie est en cours.
Certains le portent par conviction, et là on ne peut rien faire pour eux car une fois que l’on adhère au dogme politico-médiatique il est très difficile d’en sortir sinon c’est le monde qui s’écroule et là, très peu de gens sont prêts pour ça. C’est-à-dire sortir de la Matrice et suivre le lapin blanc.
D’autres le portent par obligation, par peur du qu’en dira-t-on, par peur d’enfreindre la loi ou par peur de la verbalisation même s’ils sont convaincus de son inutilité. Et là c’est pire car c’est la voie toute tracée vers un totalitarisme nouveau, une dictature parfaite.
Aldous Huxley écrivait dans Le meilleur des mondes : « La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader. Un système d’esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l’amour de leur servitude ».
Nous y sommes non ?
Les gouvernements ne font pas d’erreurs lorsqu’ils vous disent, au plus fort de la contagion, que les masques sont inutiles. Pas plus qu’ils n’en font lors des lendemains tranquilles, au plus fort de l’été lorsque les hôpitaux sont vides, lorsqu’ils vous disent le contraire. Qu’il faut porter le masque pour vous protéger et protéger les autres.
Ce n’est pas une erreur lorsqu’ils vous disent que vous devez porter le masque au travail entre collègues mais pas au restaurant avec les mêmes collègues.
En réalité, les gouvernements créent chez vous de la dissonance cognitive, c’est-à-dire une mise en situation dans laquelle tous vos jugements entrent en contradiction les uns avec les autres et vous amènent à des situations de blocage et d’égarement. Vous êtes ainsi beaucoup plus vulnérable et beaucoup plus perméable à des consignes que vous n’auriez sûrement pas acceptées si votre raison fonctionnait normalement.
Le fait de porter un masque nous entretient dans un climat de terreur qui repose sur une menace que nous ne voyons pas et ne percevons pas. Ce qui amplifie nos angoisses, notre stress et impacte directement notre système immunitaire qui s’affaiblit à force d’anxiété. Du point de vue psychologique, nous savons que la peur est très mauvaise conseillère. Lorsque nous avons peur, nous sommes beaucoup plus enclins à accepter toutes sortes de mesures liberticides et contraignantes. Les ingénieurs sociaux le savent et la journaliste canadienne Naomie Klein a écrit un excellent ouvrage sur le sujet, « La stratégie du choc ».
Au-delà du fait qu’il s’agit d’un livre très critique sur les dérives de l’ultralibéralisme, l’ouvrage met surtout en lumière le fait que les gouvernements profitent de plus en plus fréquemment de certains événements majeurs, tels que les attaques terroristes (cas du 11 septembre 2001) ou les insurrections populaires (cas des gilets jaunes en France), pour renforcer leur arsenal juridique (perquisitions sans commission rogatoire, restriction des libertés, assignation à résidence, fichage des individus, renforcement des contrôles, etc) visant à restreindre les libertés individuelles de chacun sans toutefois apporter une réelle sécurité aux populations.
Est-ce que les états d’urgence qui ont été instaurés dans plusieurs états du monde ont été ensuite retirés ? Non et ils sont toujours en vigueur.
Est-ce que l’état d’urgence qui perdure en France depuis le massacre de l’équipe de Charlie Hebdo en 2015 a empêché l’attentat de Nice ? Non. Absolument pas. Une des grandes entourloupes du gouvernement Valls a été de faire croire aux Français qu’il allait lutter contre les injustices sociales et les idéologies radicales en installant partout des caméras et des portiques de sécurité.
L’état d’urgence, en réalité, n’a fait que renforcer les pouvoirs des forces de l’ordre établi et des gouvernements sous prétexte de lutter contre le terrorisme et les Français l’ont accepté. La peur de mourir, égorgé par Mohamed le gérant de la petite épicerie du bas de l’immeuble ou par Youcef à coups de balai entre deux nettoyages de voirie était trop forte et allait bien au-delà de la raison.
Notre réalité dans ce monde ne se base et ne se construit qu’à partir de ce que nous renvoient nos sens et lorsqu’ils sont biaisés ou ne sont plus tout à fait fonctionnels, ce sont tous nos repères qui s’effondrent. Nous nous retrouvons alors là dans une position d’extrême vulnérabilité voire de perdition. Comme des baleines dépourvues de leur système d’écholocation.
Nous perdons ainsi confiance en nous et dans les autres, tous nos repères et nos valeurs s’estompent et nous nous en remettons volontiers au bon vouloir de l’autorité.
C’est en quelque sorte un peu ce qui se passe lorsque nous tombons malades et que nous nous rendons chez le médecin. Pour guérir et recouvrer notre santé, nous ingurgitons tout ce qu’il nous donne et bien souvent sans lire attentivement la notice.
Nous nous retrouvons comme des enfants dans les mains de nos parents.
Les gouvernements, qui ont malheureusement bien compris cette mécanique anthropologique et ces leviers psychosociaux depuis très longtemps, concèdent des budgets considérables à l’ingénierie sociale. L’art de manipuler les masses.
Nous avons parlé un peu plus haut du laboratoire militaire P4 de Fort Detrik dans le Maryland, n’est-ce pas. Saviez-vous que ce laboratoire était également très connu pour avoir abrité durant plus d’un demi-siècle le plus grand centre mondial de recherche sur le contrôle mental ?
Il est vrai que c’est effrayant mais ce n’est que la réalité. Si les structures supra-étatiques telles que l’OMS et le Conseil Mondial n’ont jamais eu autant de pouvoir, comme nous l’avons vu durant cette crise, le drame réside surtout dans le fait que ces organes ne sont absolument pas indépendants en toutes matières car ils dépendent eux aussi d’autres structures pour les financer.
Qu’il s’agisse de Madame Brundtland ou du controversé Monsieur Adhenom Ghebreyesus, tout nous laisse supposer aujourd’hui que ces acteurs internes ne sont en fait que des femmes et des hommes de paille.
Le véritable chef d’orchestre est la main qui donne, jamais celle qui reçoit et depuis que les États-Unis ont annoncé qu’ils ne financeraient plus l’OMS, c’est la Fondation Bill et Melinda Gates qui est devenue le premier contributeur.
Or sans réel contre-pouvoir, les populations du monde sont à la merci totale de ces supra-structures qui gèrent les crises qu’elles ont elles-mêmes sans doute orchestrées et provoquées.
Tout le monde aujourd’hui comprend bien que quelque chose cloche ; que l’on ne nous dit pas la vérité et que les chiffres sont truqués et manipulés et que surtout, plus rien ne sera comme avant.
Oui, il y a un plan de gouvernance mondiale et même un aveugle le verrait. De Georges Bush à Nicolas Sarkozy, toutes les grandes personnalités politiques n’ont eu de cesse de le répéter et personne ne le nie. Ce n’est absolument pas du complotisme, « c’est notre projet » pour reprendre les termes exacts d’Emmanuel Macron car effectivement c’est un projet bien réel.
Nous avons tendance à oublier qu’il y a déjà une première ébauche de gouvernement mondial et elle s’appelle l’ONU. Que fait-elle ? Elle ne fait qu’adopter des résolutions qui ne servent à rien hormis brasser du vent.
Est-ce que l’ONU a aidé à ce que la souveraineté des états les plus pauvres de la planète soit respectée ? Non. L’ONU a-t-elle fait quelque chose pour les Palestiniens ? Rien.
Le Proche et le Moyen-Orient aujourd’hui sont dans un chaos inédit.
Est-ce que l’ONU a empêché les bombardements de la Yougoslavie, de l’Irak, de la Libye ou de la Syrie ? La réponse est non.
Est-ce que les Américains ont apporté la démocratie et les droits de l’homme en Afghanistan depuis qu’ils y ont mis les pieds en 2001 ? Non. Sont-ils toujours là-bas ? Oui. 19 ans dans un pays pour rien.
La seule chose qui ait évolué en Afghanistan c’est la production d’héroïne et elle a explosé entraînant par principe de cause à effet une hausse vertigineuse de sa consommation aux États-Unis pour atteindre un niveau alarmant.
On ne fait pas de guerre pour sauver les veuves et les orphelins et les milliardaires ne nous veulent pas du bien. Il faut arrêter de se leurrer. Ils ne sont intéressés que par leurs profits et leur salut.
C’est à nous de nous réveiller et d’arrêter de nous faire promener comme des enfants immatures et irresponsables et de concevoir un système pour décider tous ensemble de ce qui est bon pour notre avenir et notre planète.
La première chose à faire est déjà de nous déconnecter de tous ces instruments de conditionnement que sont les médias conventionnels qui ne font que servir la soupe à leurs propriétaires et leurs actionnaires principaux. Nous devons impérativement nous réapproprier les différents canaux d’information de grande écoute et participer à l’éducation des peuples afin qu’ils se réveillent et ne se fassent plus endormir comme des enfants.
La seconde est de veiller à ce que n’arrivent jamais au pouvoir des hommes et des femmes avides et cupides, et de créer un système de protection qui procure une immunité et une sécurité sans faille aux personnes vertueuses qui ont à coeur le bien être de l’humanité et de la nature.
A ce jour, ce sont plus de 655 000 Américains qui ont déposé une pétition à la Maison Blanche pour que le gouvernement américain ouvre une enquête sur les objectifs cachés de la fondation Bill et Melinda Gates et sur le GAVI. Il n’y a aucun doute que nous entendrons parler, dès cet automne, des suites qui seront données à cette pétition. Sûrement après les élections du 3 novembre.
Il est extrêmement important de faire la lumière sur les origines et les objectifs cachés de cette pandémie et de traduire en justice tous les différents protagonistes liés de près ou de loin à cet épisode funeste de l’histoire de l’humanité.
Nous devons tout faire pour que cette pandémie nous serve de leçon et surtout qu’elle soit la première et la dernière.
Amar
Note du Saker Francophone
En ces temps troublés où le monde semble prêt à basculer d'un côté ou l'autre de la montagne, Amar vous propose sa vision des événements. Il s'appuie sur un certain nombre de faits en proposant une vision dystopique de l'avenir.
Rien n'est cependant écrit et même si la volonté de certains s'affiche clairement, la partie est en cours. Il est aussi possible de tirer d'autres conclusions et d'imaginer tout un ensemble de scénarios de prospective.
3 réflexions au sujet de « Décryptage de la Pandémie de Covid-19 »
1. Ping : Décryptage de la Pandémie de Covid-19 – Saint Avold / The Sentinel
2. Ping : Puces liquides, tours 5G et sceau de l’Antéchrist – Le Saker Francophone – DE LA GRANDE VADROUILLE A LA LONGUE MARGE
3. Ping : L’ère dans laquelle nous entrons est inéluctablement celle de l’intelligence artificielle. Dans cette nouvelle ère, ce qui est également très probable est le fait que beaucoup d’êtres humains n’y trouveront sans doute plus leur place et deviendront obsolètes